1. |
Les Chênes Rouges
03:06
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Mon cœur-vicères m’a tout dit
Ta foi elle flanche, mes plumes jaunissent elles tanguent
(L’étincelle s’obscurcit en toi, je vois venir l’équinoxe)
Ta foi m’abandonne
Amène-moi loin d’ici
dans le froid et dans la pluie
Les chênes rouges embraseront nos peines
Amour-mépris dans le même geste
Si loin du centre, chaleur périphérique
(La flamme en toi s’en est allée animer d’autres rivages)
Je t’aime tellement
Amène-moi loin d’ici
dans le froid et dans la pluie
Les chênes rouges embraseront nos peines
Ah ah, Ah ah
Ah ah, Ah ah
Tant de fois j’ai pleuré la fin d’une ère
que je croyais morte
Soudain réverbère le temps
que je n’croyais être cycle
Tant de fois j’ai pleuré la fin d’une ère
que je croyais morte
Soudain réverbère le temps
que je n’croyais être
cycle
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2. |
La Valse Des Saisons
02:21
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De retour à l’hiver blanc
L’hiver noir
Printemps jaune
et orangé
Été vert
bleu et ciel
Automne rouge
et indigo
La la la la
la la la
C’est La Valse des Saisons
De retour à l’hiver blanc
L’hiver noir
Printemps jaune
et orangé
Été vert
bleu et ciel
Automne rouge
et indigo
La la la la
la la la
C’est la valse des saisons
De retour à l’hiver blanc
L’hiver noir
L’hiver blanc
L’hiver noir
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3. |
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02:58
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Les pages étaient blanches
alors j’ai écrit une histoire invisible
pour épouser l’harmonie du vide
Un monde où « Je » n’existe pas
Toi et moi
mais « c’est la société »
Mes yeux déchiffrent
enfin les signes
S’achève
la fin d’une éclipse
Goûter le sol
clair
Les cris, ma peur
Un rêve étrange
Trop vives
les couleurs m’épuisent
Comment sublimer
la souffrance
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4. |
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Tu n’sais pas où tu t’en vas
où le vent te mènera
Tu chéris ce grand mystère
comme un enfant priant le ciel
Tous les fleuves vont à la mer
et la mer n’est point remplie
Un gouffre sans fin
que rien ne rassasie,
ne vivifie
Si tout est vanité, absurdité,
pourquoi tu danses ?
Funeste tourbillon
tu jouis parmi les moribonds
Dis-moi pourquoi tu fais ça
à ton corps à tes grandes voiles ?
Une guerre civile se déclare
au beau milieu de ta cité
Si tout est vanité, absurdité
pourquoi tu danses ?
Funeste tourbillon
tu jouis parmi les moribonds
Ah ah ah
Ah ah ah ah
Si tout est vanité, absurdité
pourquoi tu danses ?
Funeste tourbillon
tu jouis parmi les moribonds
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5. |
Trois Montagnes
01:53
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Nahardelah Montreal, Québec
Quatre voix se rencontrent à Montréal (Québec) pour donner naissance à un univers intime, où les harmonies et les textes
évoqués peignent de vives images.
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Four voices meet in Montreal (Quebec) to give birth to an organic, intimate world, where harmonies and texts paint vivid images.
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